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 GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe)

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Morphal IV
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MessageSujet: GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe)   GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe) EmptyVen 9 Sep - 12:27

GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane)

Gloutonnia
Capitale : Bacchanales-sur-Orgies, Capitale de l’Empire
Chef-lieu : Grasville, lieu de résidence de la famille royale
Ethnie dominante : Mixte (c’est un peu l’auberge espagnole, il y a même quelques Diables de Tasmanie acclimatés en liberté)
Fonction : Siège de l’empire

Viennetta
Capitale : Banana-en-Split
(Chef-lieu : Extrêmh)
Ethnie dominante : La rude tribu des Jerh-vais, ex-terroristes indépendantistes adeptes de la bombe glacée. Pacifiée depuis plus d’un siècle ses membres se sont reconvertis dans le commerce d’ice-cream, le tourisme et la production cinématographique.
Fonction : haut-lieu de villégiature et de divertissement des Gloutonniens, reçoit tous les 4 ans des délégations de toutes les provinces de l’Empire à l’occasion des Jeux Gastronomiques Divers (parmi lesquels le fameux marathon-fondue en relais).

Moussaka la grande
Capitale : Abdullah-excusez-moi
(Chef-lieu : Falafel)
Ethnie dominante : Mixte mais majorité de mystiques Baklavas, moines pâtissiers itinérants pratiquant une version légèrement adaptée (comprenez : hérétique) du chamanisme péruvien, ce qui explique en grande partie leur mise à l’écart de Baba Land. Ils ont grandement participé a l’ensemencement et valorisation de la planète, ce qui leur à valu une rancune tenace de la part d’une minorité des habitants primitifs de la planète particulièrement attachés à un mode de vie gastromasochiste et rétrograde.
Une poignée de rebelles Light-Fremen subsiste à ce propos quelque part dans les montagnes du sud. Vivant dans l’ascèse la plus absolue (ils refusent catégoriquement de se nourrir plus de 4 fois par jours !!), ils évitent tout contact avec les Zrau-Bese (N.m. Péjoratif. Désignant indifféremment les Gloutonniens et ceux qui entretiennent des rapports avec eux, par exemple les Baklavas, en light-fremenique , dixit le Gros Robert).
Fonction : Joyau des provinces de Gloutonnia de part son opulence et la variété des aliments qui peuvent s’y trouver, on y vient de l’autre bout de la galaxie pour y déguster les mets les plus extravagants. Moussaka est à l’exotisme culinaire ce que Gloutonnia est à la politique et l’orgie* : un Must incontournable pour le gourmet impénitent.

*indissociables l’une de l’autre dans notre bel Empire, si besoin est de le rappeler .

Saucissonnutella
Capitale : Paella Froide-Rasket
(Chef-lieu : Voilà-du-boudin)
Ethnie dominante : Population quasi-exclusivement composée de Bifaîms, descendants de l'ex-caste militaire gloutonnienne d'avant l'abolition de la guerre. Quelque peu tenus à l'écart par le reste de la population de l'Empire pour leurs moeurs alimentaires peu orthodoxes (pour ne pas dire franchement répugnantes) et leur incontrôlable manie du bizutage, les Bifaîms sont le plus souvent des individus taciturnes (sauf lorsque matière à bizuter leur tombe sous la main, là c'est plutôt l'expansivité à l'extrême) et frustes, tournés vers des activités mécaniques et répétitives telles que la maintenance informatique et le dégraissage de four à pain électronique.
Fonction : Autrefois spécialisés dans l'art de faire fonctionner des engins compliqués destinés à exterminer des gens à grande échelle, les Bifaîms restent fascinés par les gadgets et sont capables de vendre père et mère pour la possession d'un bidule électronique à ajouter à leur collection (le fait que ce dernier n'ait que peu, voire pas, la moindre utilité ne présente aucune espèce d'importance à leurs yeux, du moment que c'est nouveau et bidulesque).La planète est devenue un centre stratégique de maintenance des vaisseaux galactiques et la 1ère pourvoyeuse de loisirs à haute valeur technologique ajoutée (par contre question tourisme, c'est toujours pas ça...).


Dernière édition par le Dim 3 Juin - 18:50, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe)   GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe) EmptyJeu 15 Sep - 12:46

GLOUTONNIA et ses provinces (Part tou)

SweetSweetChipolata
(ex- AïeAïeAïeRumsteak)
Capitale : Carpaccio
(Chef-lieu: Aloyau-l’orgueilleuse)
Ethnie dominante : Mixte, principalement de confession Vianddhiste. Même si Céréaliens et autres (on y trouve quelques comptoirs baklavas) sont désormais acceptés, la planète compte encore une minorité de noyaux intégristes isolés.
Fonction : Autrefois bastion des Ducs Vianddhistes, parmi lesquels le tristement célèbre duc de Bordeaux-Chesnel, cette colonie a été associée de longue date à la dynastie Bâfrolingienne (Carpaccio a même failli devenir la capitale Royale sous Chipoth 1er).
Re-nommée après l’édit de Ventre, l’ancien fer de lance Vianddhiste durant les guerres d’alimentation a depuis été la cible d’efforts de pacification constants de la part des rois Gloutonniens successifs.
Quelques tensions subsistent mais les jeunes générations ont fait montre d’une ouverture inégalée depuis les dernières décennies, la pratique du commerce et la diversification des activités (la Haute Ecole des Arts Bouchers n’a plus le monopole de l’enseignement) les ayant amenés à accepter progressivement la différence culturelle.
La tête de veau farcie aux pieds de porc panés sur son lit de côtes de bœuf en gelée à la mousse de foie de canard (accompagnée le plus souvent de boulettes de viande de mouton ou de beignets de poulets) n’en reste pas moins un plat national très apprécié.

PecheMelba
Capitale : Le Melba-Bunker
(Chef-lieu, ou ce qui en tient lieu : Barbak, principal rassemblement de campements Métâhowl)
Ethnie dominante : Dirigée officiellement par une poignée de nobles Gloutonniens exilés volontairement depuis plusieurs siècles, la caste des Melba-Barons, la planète est en réalité surtout peuplée de tribus Métâhowl, féroces nomades motorisés sur lesquels l’empire ne parvient pas à avoir la moindre prise depuis la colonisation.
S’ils pratiquent une version particulièrement expurgée du Culte Alcooloboulimik, ces mécréants semblent apprécier au moins autant s’éclater le foie et l’estomac que les oreilles (par le biais d’une série de sons épouvantables qu’ils osent qualifier de « musique »).
Fonction : Planète frontalière au climat ingrat et aux ressources minables, PecheMelba compte surtout par la présence de ces êtres d’exception que sont les Melba-barons sur son sol.
Issus d’une famille cousine de la dynastie bâfrolingienne, les melba-barons descendent du génial Rôton de Pastaga. Gourmet le plus doué de sa génération, il décida de s’isoler sur la plus fruste des provinces de Gloutonnia pour y parfaire son art loin des contingences de la cour et approcher autant se faire que peut de la perfection gastronomique.
Les pastaga étant des têtes de mules patentées, ils demeurèrent donc là, au fil des générations, à tenter d’atteindre cet idéal absolu.
Ils se firent ponctuellement connaître par la suite par de véritables miracles culinaires, apparaissant dès qu’on avait besoin d’eux, ce qui leur valut d’obtenir le titre de melba-barons (ou plutôt melba-Baron, au singulier, vu qu’il n’y en a jamais plus d’un à la fois à porter ce titre dans la famille).
Capable des exploits gastronomiques les plus incroyables, le melba-Baron n’est appelé par le roi que dans des circonstances vraiment désespérées, où tout semble perdu (quand il faut préparer un banquet pour une délégation de 3000 diplomates tasmaniens affamés non prévue sur le planning en moins d’une heure, ou réussir les doigts dans le nez un soufflé au nitro-munster de saucissonnutella qui ne retombera pas, ni ne réduira en cendres, des invités de marque qu’on souhaite impressionner…).
La réputation ténébreuse des Melba-Barons vient en partie de la légende qui veut que chaque nouveau Melba-baron se doive de manger son père afin d’obtenir le titre (ce qui est parfaitement ridicule : les Melba-barons de plus de 40 ans atteignant fréquemment les 180 kgs*, on imagine difficilement le jeune aspirant Baron se taper plus de 2 fois son propre poids de barbaque en une seule prise. Ou alors c’est qu’ils sont vraiment très très forts…Ou qu’ils le graillent en plusieurs fois ? Enfin, je m’égare. C’est interdit par la loi Gloutonnienne, point.).
A noter, le Melba-Baron actuel, Jan-Bont de Pastaga, semble entretenir des rapports ambigus avec les légions Métâhowl qui traversent parfois la plaine désolée au pied de ses murailles. Tantôt affecte-t-il de les ignorer superbement du haut de sa tour d’ivoire, tantôt se mêle t-il à eux (les nuits de pleine lune) sous un fallacieux prétexte de banquet (« je vais me taper un bœuf ») pour, au dire de quelques témoins, jouer avec eux de leur musique sauvage, au moyen d’un engin diabolique au son d’enfer de sa confection.

*Ce qui les a obligé à développer une technologie de transport individuel particulièrement évoluée…
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MessageSujet: GLOUTONNIA et ses provinces (Part fwi)   GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe) EmptyJeu 6 Oct - 14:27

GLOUTONNIA et ses provinces (Part fwi)

Gavotti-Bigoudena
(ex-OeufSurLePlat)
Capitale : New Pont-Aveune
(Chef-lieu: Far-far-from-my-home)
Ethnie dominante : Petite communauté de descendants de colons Gloutonniens de religion céréalienne (les Mets-flower), Gavotti-Bigoudena abrite surtout la plus importante congrégation de sœurs Beignet-Gesserit de la galaxie en tant que quartier général du Culte.
Fonction : Longtemps considérée comme la planète la plus sauvage et inexplorée de l’empire Gloutonnien, OeufSurLePlat était un territoire mythique, peuplé selon la légende d’amazones prépubères chevauchant de féroces dindons carnivores de la taille d’une autruche sur fond de triple soleils rouges.
Si les dindonogres sont, hélas, une indéniable réalité de cette difficile colonie, personne en revanche n’a jamais vu de jeunes filles sur leur dos.
Sans doute doit on mettre ce genre de rumeurs sur le compte des émanations hallucinogènes particulièrement lourdes que durent encaisser les découvreurs de la planète (originellement couverte de forets de pins-LSD et de H Palétuviers, elle fut défrichée en grande partie pour des raisons toxico-sanitaires*).
Ses premiers occupants humains, une poignée de Céréaliens fuyant les persécutions Vianddhistes de la Saint Antipasti, eurent toutes les peines du monde à s’y acclimater : être traqué en permanence par des créatures sauvages aussi monstrueuses que carnassières dans une atmosphère psychotrope ne ressemblait pas vraiment au paradis imaginé lors de l’émigration.
Comble d’ironie, quand ils parvinrent, très approximativement, à s’y installer ils n’eurent d’autre choix qu’exporter la viande des innombrables espèces animales qui pullullaient sur la planète (du dindonogre au cochonours en passant par le singe-rat) pour espérer faire survivre économiquement leur précaire petite colonie.
Celle qui aurait aimé pouvoir se revendiquer la première Tofutopia végéta ainsi pas mal de siècles, et aurait sans doute fini par disparaître sans l’intervention impromptue des sœurs Beignet-Gesserit. Ces dernières, après quelques prospections préalables (et sans un seul mot d’explication), vinrent en effet y implanter un grand nombre d’industries alimentaires et de laboratoires d’expérimentation Patisso-culinaire.
Après plusieurs mois de recherches menées dans le plus grand secret elles lancèrent le fameux Pain d’Epices**, qui eut le succès que l’on sait, et rachetèrent les droits de la colonie aux Céréaliens pour en faire le siège de leur « Churst »***, la rebaptisant dans la foulée.
Si quelques céréaliens subsistent à Far-far-from-my-home (l’ex-capitale), la plupart ont profité de cette manne inespérée pour prendre leurs cliques et leurs claques et fonder une Tofutopia digne de ce nom aussi loin se faire que peut….

*on raconte que Jarret de l’Ile flottante y aurait composé sa Gloutonnaise, inspiré par « l’atmosphère » si particulière de la colonie.
**dont la recette demeure secrète à ce jour.
***contraction de « church » et de « trust », comme elles affectionnent de nommer leur empire.
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MessageSujet: Re: GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe)   GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe) EmptyJeu 16 Fév - 15:21

GLOUTONNIA et ses provinces (Part Fore)

Tofutopia
Capitale : Endivopolis
(Ex-Sojaseun City)
Chef-lieu : Poik-chiche
Ethnie : Descendants de descendants de colons Gloutoniens d'Oeuf-sur-le-plat, d'exilés céréaliens de diverse provenance et de trafiquants de tout poil.
Fonction : Grenier de l'Empire, Fondée sous l'égide du célèbre leader Céréalien Jack Oldmanjack (bluesman raté qui eut l'imprudence de se reconvertir dans les « Betteraves Spirituals » peu avant le début des Guerres d'Alimentation*), Tofutopia aurait dut être un havre de paix et de prospérité pour tous les Céréaliens, enfin à l'abri des persécutions Vianddhistes.
Les poches pleines à craquer de liquidités Beignet-Gesserit** et la confiance de ses concitoyens toute acquise (il venait d'être élu Président à vie), Oldmanjack voyait les choses en grand, très grand, trop grand.
Grisé par le pouvoir, il ne lui fallut pas longtemps pour que ses responsabilités lui montent à la tête.

Après s'être fait rebaptiser « Sojaseun 1er, Fils du Soja », il élabora un certain nombre de théories délirantes (Nécessité de bannir les « non-Céréaliens de souche, » légitimité du mariage avec les végétaux, droit de vote des tubercules et transfusion hebdomadaire et obligatoire de jus de radis pour se purifier...), fit fonder une capitale en son nom et instaura, pour finir, un culte unique de sa propre personne.
Quelques années de ce régime hallucinant suffirent à ruiner la prometteuse colonie, tant sur le plan économique que politique et social, et en faire un monde de chaos et de famine comme il y en eut peu dans l'Histoire Gloutonienne. Peu s'en fallut d'ailleurs que les habitants de Tofutopia ne soient tous décimés, emportés par les guerres civiles et la famine, ou disparaissant purement et simplement dans les sinistres « camps maraîchers » du despote.
La dynastie du Fils du Soja n'alla heureusement pas plus loin que son premier représentant, car Sojaseun disparut un beau jour, laissant derrière lui une planète en plein débâcle...

En dépit des efforts pour relever le pays des gouvernements (nettement plus modérés) qui lui succédèrent, Tofutopia n'en reste pas moins à ce jour une nation aux institutions fragiles, gangrenée par les mafias légumières et les contrebandiers de toute sorte, et dont l'économie reste encore beaucoup trop dépendante des marchés parallèles et des transactions louches...
Tous les espoirs ne sont pourtant pas perdus et notre souverain Morphal IV ne désespère pas de « lui rendre la splendeur qu'elle mérite .»

Une question reste néanmoins sans réponse : Qu'est il advenu de Sojaseun? Assassinat ou fuite politique?
D'aucun murmure que ce serait son petit fils caché qui aurait fondé Starfok Baba Land (certains historiens s'accordent à reconnaître une similitude dans la méthode d'exercice du pouvoir). L'intéressé n'a pour l'instant pas souhaité s'exprimer sur la question...

*Voir « Vianddhisme et Céréalisme » dans la section Religion (ou, plus simplement, la page d'accueil de l'Alliance).
**Les Beignet-Gesserit ont en effet racheté cash la précédente colonie de la diaspora Céréalienne (voir plus haut l'histoire de Gavotti-Bigoudenna pour plus d'informations).
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MessageSujet: Re: GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe)   GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe) EmptyVen 21 Avr - 8:13

GLOUTONNIA et ses provinces (Part Faïve)

Juanita Banana
Capitale : Eden-de-guimauve
(pas de Chef-lieu)
Ethnie : L'admirable petit peuple des Smoutchous, créatures aussi délicieuses que pacifiques qui ont parfaitement compris leur destin : Servir dans la joie et la bonne humeur de plat de résistance
(Un smoutchou en gros ça ressemble à ça : :59:, on en croise très souvent sur le forum).*

Fonction : Réserve Naturelle Royale de Gloutonnia.
Juanita Banana est un véritable petit paradis sur terre où coule littéralement le miel, le lait et les Smoutchous...Lieu de villégiature privilégié de la Cour pour ses quartiers d'hiver (la planète bénéficie d'un micro-climat inégalable*), quantité de compétitions sportives et culturelles y sont disputées (Jeux Gastronomiques d'Hiver, Concours de Flagornerie...).
Néanmoins, la vocation première de la colonie est de sauvegarder à tout prix l'existence de cette espèce sans nulle autre pareille que sont les Smoutchous.
Comme nous l'avons évoqué plus haut cette petite bestiole rondelette et joyeuse passe son temps à chanter et à rire en attendant le moment ô combien divin où elle sera mangée. Car, c'est là une spécificité des plus intéressantes de cette irremplaçable bête, qu'arrivée à maturité elle se cherche un ventre ami où terminer ses jours. Rien de plus beau en effet pour un smoutchou que de se fondre dans un système digestif qui saura l'apprécier à sa juste valeur.
Leur rythme de reproduction n'étant pas loin de pulvériser celui de lièvres sous viagra, l'espèce a bien failli succomber à la surpopulation quand leurs derniers prédateurs ont subitement disparus (d'indigestion aigue semble t il). Sans personne pour les ingérer, leur avenir s'annonçait bien
sombre : Leur population avait cru dans des proportions affolantes et menacait de ruiner rapidement le subtil écosystème de leur belle planète.
L'arrivée dans ce contexte des premiers explorateurs Gloutonniens fut véritablement salvatrice, même s'il s'en fallut de peu qu'ils ne périssent tous étouffés sous une horde de petites créatures extatiques n'ayant pour seule idée que de se frayer un chemin, aussi rapide que possible, vers leur estomac (Bâfrh merci, ils n'avaient pas encore entamé leur 3eme repas de la journée et purent s'en tirer avec quelques vergetures à l'abdomen),
Sitôt remis de leur festin improvisé, ils s'attelèrent à communiquer la nouvelle de leur fabuleuse découverte à la métropole, aussi rapidement que les moyens de communication de l'époque le leur permettait, accompagné d'une demande prioritaire de mise en place d'un plan de sauvetage d'urgence.
Il est notable que jamais de toute l'Histoire Gloutonienne planète ne vit colonisation aussi rapide.

*Pour davantage d'informations sur les Smoutchous, se reporter à la rubrique "Précis de Xenozoologie" dans cette même section.
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MessageSujet: Re: GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe)   GLOUTONNIA et ses provinces (Part ouane à sixe) EmptyDim 3 Juin - 18:49

GLOUTONNIA et ses provinces (Part sixe)

Amora la Licencieuse
"Par amour du Gnou"

Capitale : Truie
Chef-lieu : Néo-Babylonia
Ethnie : Majorité de Truyens (la population de Truie représente à elle seule 55% de la population de la planète) confessant presque tous adhérer à l'Orgisme Condimentaliste, plus une frange bigarrée d'étrangers en quête de sensations fortes venus de tous les coins de la carte stellaire.
Fonction : Autrefois considérée comme la plus grande rivale de Gloutonnia pour la suprématie Gastronomique dans la Galaxie, Amora tire son nom de la déesse locale des condiments et des parties fines, et n'a pas volé, de fait, sa réputation de colonie la plus épicée de l'Empire.
Capitale du lucre et du péché située en plein milieu d'un carrefour commercial de première importance, elle contrôlait le trafic des aromates et des assaisonnements de la galaxie 1 depuis l'invention du premier moteur spatial à clafoutis, et Bafrh sait que ce commerce a toujours été vital pour l'économie Gloutonienne. Ainsi, même la production en provenance de Moussaka la Grande, principale colonie Gloutonienne, était sévèrement taxée par les amoriens.
Ce qui ne manquait pas de faire monter la moutarde au nez des Rois Gloutons.
En dépit des tensions engendrées par cette situation, les choses auraient pu en rester là si les rois d'Amora n'avaient eu, en sus, un goût fort prononcé pour la plaisanterie douteuse.
Les historiens s'accordent à dater de 4260 l'ultime blagounette qui mit le feu aux poudres.
Ducros XII, roi d'Amora célèbre pour son humour des plus piquants, ayant eu vent de la venue en son royaume du fils de son rival Bafrh III (1), convainquit sa fille Marjolaine d'aller tourner la tête au jeune Prince Glouton. Comme ça, pour déconner.
Mission dans laquelle elle n'eut aucun mal à exceller par ailleurs, la légende voulant qu'elle eut été en son temps la femme la plus appétissante de la galaxie.
Complètement tourneboulé par la tentatrice (2), notre jeune Prince lui demanda sa main derechef et eut le coeur brisé de se voir repousser avec un cruel dédain.
Tandis qu'à la cour amorienne on se gaussait grassement de la déconfiture du jeune prétendant en se gavant de boudin d'ours au miel et au poivre, celui-ci rentrait chez ses parents malheureux comme les pierres (3). En proie au désespoir le plus total il en était devenu anorexique, et se laissait dépérir, faisant à peine plus de 2 repas par jour.
Pour Bafrh III c’en était trop. Il était déjà pénible d’être ainsi rançonné sur le sel, les clous de girofle et le safran vert par ces salopards d’amoriens, sans qu’ils viennent de surcroît attenter ainsi à l’équilibre de sa descendance. Si Amora se faisait fort de tenir doublement Gloutonnia par les rognons, il allait leur montrer, lui, qu’il ne faut pas vendre le foie du veau avant de l’avoir vêlé.

Ainsi débuta le plus épique des conflits pré-shismatiques (4) de l’Histoire Gloutonienne :
La légendaire Guerre de Truie.

Les plus grands morceaux de bravoure de cette épopée furent immortalisés par les vers du fameux poète alcooloboulimik Homer Pimson (qui était par le plus grand des hasards en villégiature dans la région au moment des évènements) : L’estomac dans les talons d’Achille Gros-poulet, la fringale d’ajaxx, fils de Carolin (intendant du Roi), qui décima tout un troupeau pour son goûter, l’entêtement d’Hectorigan, prince consort d’Amora, qui, venu se cuiter à mort au camps des gloutoniens refusait de rentrer dans sa belle-famille (5)
Et, bien sur, le légendaire stratagème de Régis, prince du Tacle, (qui n’était pas la moitié d’un con) qui assura la victoire aux armées de Bafrh III.

Régis avait constaté, dépité, que les truyens, bien confortablement installés derrière les murs de leur forteresse bourrée ras la gueule de munitions de bouche, ne semblaient pas vouloir faire le moindre effort pour écourter le conflit (en venant se mettre dessus sur la plaine comme des gens civilisés, par exemple).
N’ayant nulle envie d’attendre jusqu’aux calendes grecques (son aversion pour les feuilles de vignes farcies était proverbiale), Il eut l’idée géniale de faire construire un immense gnou de bois, qu’il fit mine de laisser sur place en faisant évacuer les forces gloutonnes.
Rappelons, si nécessaire, que dans la culture Amorienne le gnou est le symbole absolu de la soumission sexuelle.
Face à cette éloquente marque de reddition, Il ne fit pas un pli pour les truyens que leurs ennemis avaient tourné casaque la queue entre les jambes. Ils remorquèrent donc la chose jusqu’au centre de la grande place de la cité pour en faire un magnifique feu de joie, histoire de commémorer la victoire et au cas où des petits malins auraient eu l’idée de s’y planquer afin de pénétrer dans la ville. Pour tout dire, c’est ce qui avait effectivement été imaginé dans un premier temps par notre roué Régis, mais il eut l’heureuse intuition de faire remplacer la cohorte d’hommes en armes originellement prévue par une cargaison de 10 tonnes d’aiguilles séchées de pins LSD.
Si l’histoire ne nous dit pas comment il avait bien pu se procurer une telle quantité de végétaux hallucinogènes (Gavotti Bigoudenna n’ayant même pas encore été découverte), les témoignages abondent en revanche sur la facilité déconcertante avec laquelle l’armée gloutonienne s’empara de la cité en proie au délire général le plus scabreux jamais évoqué de mémoire de mangeur de peyotl.

Amora la licencieuse est depuis lors le comptoir à épices privilégié du commerce gloutonien, et., en dépit de quelques minoritaires velléités d’indépendance, il est bien connu qu’elle est l’une des provinces les plus sures et prospères de l’Empire.
Il n’empêche que le culte du gnou, déjà peu répandu à l’époque pré-schismatique, semble s’être mystérieusement éteint dans les années qui suivirent la chute de Truie… (NDRoy : Rancuniers, va).



1 : A l’occasion d’un voyage d’apprentissage à travers les principaux comptoirs de la Galaxie 1
2 : Sobriquet que lui conservera la postérité…
3 : Quoi de plus malheureux en effet qu’une pierre pour un gloutonien ? Ce pauvre minéral stérile et froid incapable d’appétit est au centre d’un grand nombre de contes pour enfants sur le thème de la malédiction.
4 : Nous nous situons bien avant les guerres de religion qui opposèrent vianddistes et céréhaliens.
5 : La tradition populaire affirme qu’il refusait d’abandonner une partie d’un jeu à boire qu’il était en train de disputer avec Achille (jeu qui porte encore, par ailleurs, le nom de ce dernier).
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