les origines de sir Barney

Il y a longtemps dans une galaxie lointaine, mais pas tant que ça quand on connait bien le métro galactique, vivait un savant trés puissant du nom de Von Trinken. Ce dernier avait tout pour lui, enfin sauf ce qu'il n'avait pas. Entre autres choses, il n'avait aucun sens des joies de la table et de la boisson. Afin de percer le secret de ces deux choses il analysait régulièrement des condiments appartenant aux joies de la cuisine et de la boisson.
Or un certain vendredi 13, alors qu'il travaillait à la fois sur les bières et un oeuf, un éclair traversa la piece en passant par la case Von Trinken. Et la l'incroyable se produisit: l'âme du professeur et celle de l'oeuf avait échangées de corps.
Devant son enveloppe corporelle inerte (bah oui, un oeuf ça a une volonté de mobilité assez restreinte!) Von Trinken fort de sa volonté de ne pas rester là à voir combien de temps il faudrait à son jaune pour se mélanger au blanc, décida d'agir. Mais bon, une âme, aussi humaine soit-elle, bloquée dans l'enveloppe d'un oeuf, elle peut rien faire!!!

Les mois passèrent ainsi jusqu'au jour où le maitre d'hôtel du savant, ayant enfin emmergé de sa dernière cuite, décida qu'après tout ce temps à rien foutre il faudrait peut-être se mettre au boulot. Et c'est bien ce qu'il avait l'intention de faire, mais après avoir fait fuir les coeurs de l'armée rouge, qui faisaient les trois-huit dans son crâne depuis le levé. Pour cela une seule solution: 3 Alcaselzers, 4 Guronsant, un quart de litre de Jack Daniel's et un oeuf cru!
Ne trouvant pas d'oeuf dans le frigo il alla dans le labo' de Von Trinken où il trouva la biere sur laquelle le savant travaillait, un oeuf et le savant les yeux grands ouverts, le visage vide de toute réaction, un peu comme un oeuf qui se serait découvert cinq sens.
Ne voyant aucune réaction ,Barney, mal réveillé, et je vous l'accorde, con comme il est, embarque son trésor pour aller préparer sa mixture dans la cuisine.
Une fois la mixture prête , il décide d'ingérer la biere trouvée dans le labo, afin de se donner du courage. Mais aussi parce qu'il la soupçonne de, comme disent les jeunes, péter sa race. En effet malgré le nombre de pintes de marques différentes qu'il s'est jusqu'à maintenant envoyé, il n'a jamais vu ça: une biere violet vif avec pour seule mousse une épaisse fumée blanche.
Ni une, ni deux, il enchaine la biere et le verre d'un trait, sans même se soucier de l'oeuf qui essayait de toute ses forces de hurler! (mais sans bouche c'est dur! Si,si essayez de crier sans bouche vous verrez.)

Si la suite vous intérèsse faites en la demande à Barney de finir son recit en lui écrivant sur sa planète a l'adresse suivante:
"Barney ze story", planète Duffland .

Mais...mais c'est du canibalisme !!!!

On n'a hate de savoir la suite comme même :shock:

Mort de rire!!!
LA SUITE!!!
:gdgbgb:

Il faisait sombre, très sombre. A première vue j'étais aussi seul qu'une idée intelligente dans la boîte à idée d'un syndicat de bulots. Je ne sentais plus vraiment mes membres; comment vous expliquer cette sensation? Au niveau sensoriel seul mon toucher fonctionnait. D'un point de vue physiologique, je ne ressentais plus du tout mon corps comme avant. Tout en moi était brouillé et je me sentais las comme si on m'avais battu toute la nuit. Ma mémoire d'habitude si vive était épaisse comme une crême aux oeufs...
Aux oeufs...les...oeufs...oh bordel pas les oeufs, l'oeuf!
Et c'est ainsi que la mémoire me revint. A cause de la foudre, d'un poivrot et d'une defaite de l'Om...
Comment ça une défaite de l'Om?
Une minute: je suis devant ma paillasse dans mon labo, la foudre entre, je ne sais comment, mais elle entre, sur quoi je me change en oeuf et maintenant j'accuse l'Om et cette enfoiré de Maurice! Maurice?
-Le patron du PMU !
-Qui a dit ça?
-Bah mi, boubourse!
-Quoi: mi? Qui: boubourse?
-Bah mi, Barney, c'tieu ma tête alors j'ai l'droit d'y être!
-Comment ça ta tête?
-Bah chez pô mi, chi r'tré assbarraque après qu'que picons chez Maurice...
-Pas "qu'que", quinze picons chez Maurice!!!
-Comment que tu sais?
-Espèce d'abruti! En plus d'avoir mangé l'oeuf- de m'avoir mangé- tu n'as pas osé boire le recomposeur améliorateur fusionneur de cellule que j'ai fais à base de...?
-Nan, j'ai pas touché! J'ai juste bu une bière violette qui trainait!!
-Mais quel con!!!
Une bière violette!!! Une bière violette!!!!! Mais faut être le dernier des pochard pour avaler ça!!!
-Bah, c'est p't'être mi alors, pa'ce que Maurice, quand...
-Tu vomis sur son comptoir y t'dit toujours...
-P'tain barney t'es vraiment l'dernier des poch'!!
C'est à ce moment précis du monologue à deux que j'ai compris ce qui m'attentais, enfin ce qui nous attendait, car je ne suis plus seul maintenant...

Si la suite de "Barney, ze story" vous intéresse, faites en la demande au principal interessé. Si il y a assez de demandes une suite viendra... :_k:

OUUUUUAAAAhhh!!!!!!
Mais elle est super ton histoire!!!
Vu comment elle m'a fait rire, ce serait salaud de ne pas t'accorder une Oreille...
La suite!!! VITE!!!

Ton (tout impatient et émoustillé par ta belle histoire)

[Stouff]: Moi c'est simple,je suis déjà fan!!

Fantastique, fantastique, je te connaissais pas de tels talents de conteur mon cher Barney, c'est vachement bien décris, ecris et crotte on à pas tous ce talent :maitre: :maitre: :maitre: :lolo:

ho oui père castor, la suite heu non m'a planté ho oui barney écris-nous la suite quand tu seras as baraque :drink:

je vous rassure je n'ai pas oublié que j'ai cette histoire a écrire. mais je suis un peu pris en ce moment et je n'ai pas envie d'écrire une suite à la v'a vite


[Stouff]: Ah ouais? Et ta gueule de bois, elle va comment? LOL

Casséééééééééééééééééééééééééééééééééééé!!!!

euh même pas vrai, je sais pas ce qui m'arrive je vous jure c'est la première fois que ça me fais ça!

Journal de miss Elisabeth Von Trinken.

Mercredi 19,
Cela faisait trois jours maintenant que j'étais arrivée au manoir de mon oncle. Comme tout les trimestres je viens voir où il en est de ses recherches. J'aime à lui rendre visite et à discuter avec lui. Sa volonté de comprendre les choses auxquelles son cerveau, pourtant si brillant n'y entend rien.
Mais point de passionnantes discussions cette fois là, j'ai été prévenu par son maitre d'hotel Barney de l'état de santé de mon oncle.
Je ne sais si je peux me fier à ce vieux poivrot que j'ai vu toute ma jeunesse essayer de me mater, alors qu'à l'age de 17 ans j'aimais à me prélasser nu dans le bassin du parc dont l'onde chatoillante éffleurait comme une caresse la chute de mes reins...mais je m'égare.
A mon arrivée disais-je je fut accueilli par le fameux Barney, étonnement je le trouvais propre, l'air sobre et pour la première fois depuis des années, je ne santais ni le whisky, ni son regard vitreux faire glisser mes vêtements le long de ma peau nacré et douce...

Enfin bon il était différent.

Avant de me conduire à mon oncle il me conduisit à ma chambre, et pour la premiere fois en vingt ans il me conduisit à la bonne chambre, ne tomba pas avec mes valises et ne fit aucune remarque graveleuse sur ma féminité.
Dans la chambre il me confia une lettre rédigée de la main de mon oncle. Le ton en était grave, il y faisait part d'une soudaine régréssion de ses facultés. Il sentait que son esprit ne resterait plus très longtemps en place, et, phrase étonnante pour un homme de sa classe : "...Il me reste autant de temps à profiter de mon savoir, qu'une pucelle à clamer sa pureté un soir de sur-boum!!", à quoi il ajoutait qu'il m'aimait et qu'en cas de questions, de me tourner vers Barney "...en qui j'ai toute confiance".
A ce point de ma lecture j'en étais sûr mon oncle était devenu fou!

Je demandai à Barney de me conduire immédiatement auprès de mon oncle, il s'exécuta et durant tout le trajet à travers la vieille batîsse familliale il me mit en garde sur ce qui m'attendait dans la chambre de mon oncle.
Une enveloppe charnelle vide de tout, à en juger par l'odeur.Je ne pus contenir mes larmes devant l'affligeant spectacle de cet homme qui m'avait fait jouer sur ses genoux en me donnant des bonbons, qui m'avait talqué les fesses jusqu'à l'age de seize ans (wha l'autre!!), n'était plus qu'un légume dont son domestique prenait soins comme s'il s'agissait d'un proche. Quelque chose clochait dans cet émouvant tableau, digne des fresque litéraire de Laura Ingals Wilder, et je me suis promis de découvrir le pot-aux-roses, le po-torose, lepo-torose...enfin la vérité quoi!
Si vous voulez lire la suite du journal d'Elisabeth Von Trinken, qui je vous rassure sera plus courte, envoyez vos message à "Barney ze story" , Duffland. :study: :_k:

Mais quelle est donc cette moiteur qui caresse mon cerveau?
Mon dieu mon cher Barney, je ne puis que m'incliner devant la drolesse de cette biographie.
j'ai hâte de lire la suite!

Nous sommes pendus à ta plume (ton clavier si tu preferes), cher parrain (relisez la definition de "Maitre Toque Planturesque" dans la section "etiquette", sujet "titres, fonctions..." si vous ne comprenez pas l'allusion). C'est avec fébrilité que nous attendons la suite de ta saga...
:shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock:

p.s. : Je ne peux que remarquer à quel point le forum semble s'etre reveillé depuis ton retour. Ton investissement mérite bien un petit changement de grade (pas de titre, hein, ce n'est pas pareil. tu es et restera toujours notre Maitre Toque Planturesque).
pareil que plus haut : va donc faire un tour au Ministère de l'Etiquette...

Ton qui t'aime...

merci a notre bon roi pour toutes ses éloges,
mais la pale lueur de joie dont je lui fait par n'est rien
fasse à l'éclat de sa divine aura inondant mon ministere a chacun de ses passage!!!
:maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre: :maitre:

wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah...!!! c'est trop fort me voilà submerger dans un univers qui me transporte sur ma propre biographie que je n'est toujours pas commencé juste quelque souvenir qui me revienne ici est la sur mes ancetre que mon grand pere me raconter en mangant des vertesses original (mais oui vous savez les ptit bombon au caramel c'est super bom) bref voilà je me met de ce pas du moin de ce doigut puisque je ne bouge pas de mon ordinateur a écrire mon histoire si palpitante pleine de rebondissement ca ne sera ptetre pas ou dumoin surement pas aussi bien naratiser que notre cher barney mais je vais faire d emon mieu en esperent que cela vous plaira ^^

sur ce bonne nour a tous juda qui parle comme un wesh ^^

Quand tu auras écrit la suite, Barney, je 't'enverrai un "colis de petits pois"...
(Demandes à Morphal ou Starfok lolol)

On est tous impatient!
Clair que je suis pas le seul à attendre!

:flower:

et non mon lord moi aussi j'attend la suite avec impatience

:ytjyrytyn: :gdgbgb: :cheerleader: :cheerleader:

jai un ou deux trucs qui me préoccupe en ce moment mais je vous promet qu'une suite v'a venir, j'y est déja réfléchi et je peu vous donner deux infos inédite:
-1- le prochain épisode sera la suite et fin du journal d'Elisabeth Von Trinken
-2- le suivant sera le récit d'un jeune laborantin un peu déphasé, mais
pourquoi ? et bah surprise!!!
:chat de noel: :chat de noel: :chat de noel: :chat de noel: :chat de noel:

Journal de miss Elisabeth Von Trinken.

Dimanche 23,

Cher journal, je suis désolé dde ce si long silence qui nous a séparé de si longs jours.
La derniere fois que je t'ai confié mais pensées j'étais, comme la jeune fille laissant pour la première fois ses mains courir le long de son corps en y découvrant moiteur et chaleur d'une nuit d'été...,désolé ,
j'étais perdue et intriguée.
L'état de mon oncle était catastrophique et tout aussi inquiètante que la courbe d'intelligeance au sein d'une équipe de foot de blondes!!!
Mais il y avait d'autre part le changement de temperament de Barney, cette espèce de bucheron canadien déguisé en mettre d'hotel, plus proche de la bète sauvage, ne repondant qu'à ses plus bas instincts, tout nouvellement transformé en gentleman aux manières prévenantes et douces comme la frele toison que la jeune fille découvre au recoin d'une sieste avec le jardinier, humm le jardinier!!!!

Journal de miss Elisabeth Von Trinken.

Dimanche 23,
excuses moi cher journal je ne sais si se sont les découvertes de ces derniers jours ou l'évocation de l'homme au près du quel j'ai connu mes derniers...euh...mes premiers emois, mais il m'a fallut une pause.
Je me suis penché en premier sur le cas de mon oncle.
ah le pauvre homme!
J'ai passé une journée à essayé d'en tirer quelque chose mais rien n'y a fait!
La conversation, la musique, et sur une idée de Barney je me suis même déguisée en petite écolière, me délectant d'une friandise sur ses genoux, mais rien n'a marché!
Il est resté de marbre, ou de pierre je sais plus. Mais une chose est sur:
il n'a ni bougé, ni parlé.
Le lendemain je suis allé dans le laboratoire de mon oncle à la recherche d'indices. Je me disais que si j'arrivais à mettre la main sur ses recherches je pourrai finir par comprendre mais hélas rien ne si trouvait. L'endroit était vide il ne restait que le vieux secrétaire de mon oncle. La tablette principale en était dépliée laissant voir à l'interieur des tiroirs, aussi fermés qu'un extrémiste à la conversation.
Je me mis en quête de la clé, quand mes recherches furent interrompues, aussi brutalement qu'un orgasme par un éjaculateur précoce, par un bruit assourdissant mais très bref. Aussitot j'accouru à l'étage, où Barney, d'une vois alarmée, m'appellait: "Babeth! Babeth! venez vite!"
Il vint à ma rencontre dans le couloir et me prit, par les épaules:
-" votre oncle, c'est affreux, il s'est donné la mort!"

Journal de miss Elisabeth Von Trinken.

Dimanche 23,

Désolé cher journal pour le fin filé de salive qui vient de tacher tes pages, mais ma fatigue ma rattrapée à la vitesse à laquelle le marin rattrape le temps predu en arrivant au port!!!

Barney disait vrai mon oncle s'était belle et bien donné la mort.
Un détail toute fois me chiffonnait: comment un homme qui ne bouge plus depuis un mois a t'il pu trouver la force de laisser une lettre d'adieu rédiger d'une main assurée et par la suite monter d'un étage pour aller se suicider dans sa chambre avec son fusil de chasse ?
N'arrivant à trouver de réponse toute seule je me résolu a appeller la police locale.
L'enquete n'a pas était longue, ils ont été brillants!
Ils ont commencé par m'affirmer que mon oncle était mort sur le coup qu'il n'avait pas souffert. Ils m'ont ensuite demandé d'identifier le corp, car la tête s'était plus possible.
Ensuite ils ont relevé leurs manches et les empreintes digitales sur le stylo, le papier à lettre et sur l'arme. Il y avait sur le tout deux paires d'empreintes celles de mon oncle et ils en était sur celles d'un autre humain.
Mais qui? C'est Barney qui apportat la réponse en expliquant, qu'en tant que personnel le plus proche de mon oncle, il avait pour devoir de régulierement vérifier son fusil de chasse, ainsi que la contenance en encre du stylo de mon oncle et le fait qu'il disposait toujours dde papier à lettres dans sa chambre. La police ,au vu de l'heure approchant dangeureusement de l'appéritf, accepta cette justification.
Mais il restait encore à expliquer comment mon oncle avait réussit à monter seul dans sa chambre, lui qui ne se bougait même plus pour faire ses besoins! Là le plus jeune des enqueteurs eut trouva la reponse, en moins de temps qu'il n'en faut à un car de crs pour vider 10 litres de pastaga:
-" facile!, dit il, je me souviens que chez ma grand mère, paternel, le vieux chien de chasse de mon grand père, paternel aussi, avait pris un jour un coup de chevrotines dans l'arrière train!
-Formidable, dis je, mais quel est le rapport entre mon oncle décédé handicapé, pardon, handicapé décédé et le cul du chien de votre grand père?
-aucun, du moins directement. Après cet accident de chasse le chien ne bougea plus de son panier, jusqu'a la nuit de sa mort où il utilisa ses dernières forces pour monté dans la chambre du vieux et mourir en lui arrachant une fesse!
-désolé me je vois toujours pas le rapport!
-bah vot' oncle en ayant marre de se chier d'ssus, il est monté se suicider!"
Ce à quoi son supérieur ajouta:
-" c'est bon pour moi, on est parti!"
La police avait classée l'affaire mais pas moi. Je ne suis pas de celle à qui on fait croire que dix centimètres c'est pareil que vingt centimètres juste en criant plus fort!
Trois choses avait retenu mon attention:
-le contenu de la lettre.
-le soulagement de Barney à la cloture de l'enquête .
-et pour finir le fait qu'il emploi le surnom, que seul mon oncle utilisait, pour m'annoncer la mort de ce dernier.
Mais tout c'est résolut le soir même en allant prendre mon bain, afin de me détendre en caressant chaque recoins de ma peau avec des huiles essentielles huuumm, je passa devant le bureau de mon oncle. Quelle ne fut ma stupeur en y entendant MON ONCLE dialoguer avec Barney!
J'entra comme une tornade dans le bureau, ne faisant plus attention à ma serviette de bain, qui tomba bêtement au pieds de Barney. UN Barney au comportement étrange pour le coup puisqu'il n'eut pas une réaction instinctive, mais deux, et simmultanement!
La prti gauche de son corp s'accroupi pour rattraper ma serviette et la gauche me siffla en essayant de se rapprocher! Moralité les deux finir par cassée la guelle sur la moquette.
S'était incroyable devoit moi, nue et en proie à tout les regards et sévicees possible, le corps de Barney se roulait par terre une main aggrippé sauvagement à son entre jambe et l'autre essayant denfoncer le plus loin possible son index et son majeur dans les narines. Tout cela ce déroulait sous couvert d'une dispute houleuse entre la voix de mon oncle et celle de Barney, les deux sortant de la même bouche!!!
Mon cher journal tu me croira si tu veux, mais j'ai pris mon courage et ma serviette à deux mains et j'ai crié pour que tout s'arrète. Et bah ça à marché. Le corp de Barney c'est arrèté sur le champs. Le coté droite de Barney me regardait d'un oeil baigné de larme, tandis que le coté gauche salivait en faisant glisser son oeil sur tout mon corp, comme la langue du fourmillier traque sa proie.
Une fois l'étonnement passé je pu me resaisir, ce que fit "Barney" aussi, en se relevant. Là il alla s'assoir derriere le bureau et alors commença un dialogue des plus étonnant, durant le quel je ne dis rien, mais j'écouté mo oncle et Barney me parler, tout en ayant que barney face à moi.
Mon oncle m'expliqua ses expériences, la foudre, l'accident avec l'oeuf, et barney me raconta sa cuite, son remède miracle et commença sur ma poitrine quand mon oncle intervint.
Là il m'expliqua l'orchestration du "suicide" de son enveloppe charnel. Cette explication me permit de comprendre pourquoi tout l'heritage allait à Barney, pourqoi ce dernier était si différent vis à vis de moi.
Finalement la soirée fini sur une proposition d'accord de la part de mon oncle: je gère la fortune afin que Barney ne dilapide pas tout en biere, en échange je jouis aussi souvent que je veux, et quand je le veux, de cinquante pourcent de la fortune de mon oncle.
(note de l'auteur: vous allez avoir maintenant à un passage "ultime niaiserie", mais qui sera le seule de "Barney ze story".)
Je suis heureuse de ne pas avoir perdu mon oncle, mais je suis triste quand même car maintenant tout ce qu'il a vu et sais de moi, Barney aussi, et tout ce que j'aurais voulu savoir et vir de Barney, en attisant son cotés homme des bois, mais maintenant interdit par la moral.
Je me demande, cher journal si tout doit toujours être aussi compliqué et si la découverte du véritable amour mettra un terme à cela.
Ou bien le fait que je puisse peu être un jour retrouver la trace de mes parents, disparuts depuis bientot vingt ans dans une brasseri de bières, m'aidera à trouver la pet... non la paix de l'âme!

la suite de "barney ze story" dans pas longtemps et plus dynamique!!!
:chat de noel: :chat de noel: :chat de noel: :chat de noel:

Hébé...
On l'aura attendu mais du coup on est gâté!!
Plus c'est long, plus c'est bon....
(aucun sous-entendu encore une fois! :oops: )

Oui c'est vrai moi aussi ca ma bien fait marré

j'ai hate de voir la suite ^^

(au moin une histoire qui tien la route)

le nain surfeur : jerémie trouve que ton avatar te resemble bcp barney
:drink:

dis donc toi t'es pas censé etre en cours?